Lorsque j'y pense je vous écris un mot....

Aujourd'hui le ciel est bleu comme une banquise...il fait si froid.

20 févr. 2011

Écrire me permet de réfléchir…parler me permet de ne rien dire…

Ma plume c’est comme ma langue. Ne sachant jamais quel bord elle prendra...

Flirter sur moi le printemps fleuri...

Quand on y pense…la vie peut attendre…Il n'y a que la mort qui vient trop vite…

Il y a des mots qui se devinent et des gestes qui se dessinent…(je sais... elle est facile)

Combien de fois me suis-je dit que mourir n'était qu'une morte pensée ?

Je voudrais m’endormir avant de mourir... ...


17 févr. 2011

Lorsqu’un fruit rougit…l’autre devient vert de jalousie…

Mes mots s’entrechoquent il ne reste plus que le fracas de mes idées.

 Faute de ne pas avoir le pouvoir de mettre certains au garde à vous je les gardes à vue…

Ce que l’on ne sait pas ne fait pas mal. Ce que l’on ne voit pas ne tue pas…Mais moi je ne sais plus ce que je vois…  

Photo sans rapport mais comme j'attends l'été avec impatience.......

8 févr. 2011


N.B. : Écrit sur un coup de tête... Sans correctif ou si peu pour le lot de fautes... Et il date de 2005...pas jeune. Je devrais le passer au correcteur mais peut-être que vos yeux suffiront pour les trouver...
Soupir...


Pour être seul j’ai besoin de Toi


Sans toi mes pas se perdent sous l’ombre
Sans toi je perds le goût de coqueter
Sans toi tout autour devient embrouillé
La tristesse sur mon visage sombre

Ensemble nous bâtirons des do ré
Nous creuserons le refrain entre nos reins
Notre chant noceur de nos bas instincts
Pour toi je suis la gamme débauchée

Je t’aime oublies tes clés sous l’oreiller
Je t’aime juste un  mot non composé
Je t’aime je l’écris sur un bout d’papier
Je t’aime vas-y rafles mon décolleté
Je t’aime tes mots me baisent raffinés
Je t’aime à perdre mes yeux pour t’écouter
Je t’aime déflores toutes mes entrées
Je t’aime viens et fais moi encor’chanter
Je t’aime un signet pour te séquestrer
Je t’aime sous le gland de ton destrier
Je t’aime ma fleur prolixe de rosée
Je t’aime pour la douzième fois narrées

Tu es l’homme, le poète la chair
Je décolle du sol en t’inventant
Le do collé à mon lit t’invitant
Viens fredonner un peu sur moi ton air
Pénètres de ta flûte traversière
Mes horizons enfouis dans la  poussière

J’ai besoin de toi pour écrire le soir sans fatigue
...