Lorsque j'y pense je vous écris un mot....

Aujourd'hui le ciel est bleu comme une banquise...il fait si froid.

28 avr. 2011

Twitter lorsque le temps me manque... J'aurais écrit ceci :


Dans les toxines de ma vie je vis ; étourdie…

J'ai mal à mon être de toute mon âme…

Il m’écrit en silence. Je devine ses silences.”

Entendre le chant des oiseaux dans la cohue de la ville est comme sentir une rosée sur ses lèvres en plein désert d'Atacama. (pas encore sur twitter, pas le temps d'y passer pour le moment...) 

Mon cœur a raté l’ascenseur. Il trouvera bien l'escalier...

La vie est un souvenir…qu’il ne faut pas oublier…

Je ne veux pas perdre l’enfant qui est en moi…je creuse le doigt de l’ange...sillon de l’innocence…


 
La main de ma fille...si elle pouvait seulement parler...

20 avr. 2011

Le pêcheur

Novembre 2006 (Oh...qu'il date déjà ce texte ! Je suis en train de dépoussiérer mes anciens textes)

Ses yeux d'un bleu contenant toutes les mers
Le regard patient plongé au fond de l'eau
Il veut en remonter un sur terre...
Un poisson;  le poisson qui sera le plus gros.

Pêcheur heureux de tout son être
Attaché au bout de son hameçon
En attente du moindre frisson
Pour le prendre... le remonter pour sa quête.
 

L'achigan, ce grand combattant
Lui en donnera pour son argent
Hors de l'eau virevoltant
D'un coup sec replongeant...

Le doré et sa bouche fine
Peut faire sombrer le pêcheur en déprime
Téte... téteux... tétant... l'hameçon tout le temps
Le pêcheur s'en retourne rageant...

La truite qui gigote
La mouche l'asticote
Le pêcheur ouvre sa glacière
Décapsule sa première bière...

Ce pêcheur serait-il notre Sauveur ?
Car lorsqu'il appose son leurre
Ses yeux d'un bleu contenant toutes les mers
Ne rêvent qu'à emplir tous les congélateurs de l'univers...

19 avr. 2011

Courir

Courir... Jusqu'à perdre haleine pour en semer nos peines
Courir... Sans vraiment savoir où se réfugier.

Courir... Pour apprendre à souffrir sans se toucher
Courir... Pour que la nuit reste derrière et que le sang coule en nos veines.

Courir... Jusqu'à mourir à bout de souffle et d'amour
Courir... Sans vraiment comprendre pourquoi l'on s'essouffle.

Courir... Pour défoncer les portes qui nous sépare du jour
Courir... Pour retrouver la clé de notre cœur qui souffre.

Courir... Pour qu'un jour tout puisse s'arrêter

Courir... Pour ne plus ressentir que le vent.

Courir... Jusqu'à ce qu'arrive le printemps
Courir... Sans vraiment attendre un arrêt.

Courir... Car la vie n'est que ça
Courir... Pour mourir plus las...
Ou...hélas…




haïku ou rapprochement...

 L'oiseau siffle
Un chant d'amour
Où est-il?


D'un trait
Le visage
Se plisse
 


Ta bouche gourmande
Croque la pomme
Le ver se tord...

Il vivaient déjà ces petits haïku...juste ICI mais je tenais à les isoler de tous mes autres mots.


Photos à partir de ma cuisine

Mon ciel vertical. Les arbres l'enveloppent pour le protéger du froid.

Le chat au collier sans laisse...


Dans ma cuisine...le robinet me fixe d'un regard insipide.

 Hier, Le fabuleux destin d'Amélie Poulain...et demain je le regarderai encore. Un film qui fait du bien.




Rien qui en dit long...


Aux creux de tes fossettes
S'entassent
Des risettes espiègles…

Si je creuse dans ma mémoire
Je perds le fil
De la conversation...


L’hiver accroché à mes cheveux…j’en arrache…
 


Aujourd'hui le ciel se couvre de mes prières...il pleut...

18 avr. 2011

Peut-on tomber amoureuse d'un dénommé Lachapelle dans une église ? Ça ne semble pas catholique tout ça...

Y en a vraiment pour qui voir leur TL prendre de l’expansion leur gonfle tout autant l’égo… #disçademême


16 avr. 2011

Seul


Par les temps qui courent…Peut-être que d'être seul...serait  la meilleure solution pour ne pas se sentir abandonné…


14 avr. 2011

maladies

Même si un jour l’on découvre une cure à toutes les maladies…Il y aura toujours un homme quelque part pour en développer une nouvelle. 

 J'aime regarder par la fenêtre le lichen envahir, s'étendre, s'allonger et entourer de sa vie les branches d'arbres.

Idées...

Les mots coincés dans ma gorge n’ont pas de suite dans les idées...

Le métro souterrain écrase-t-il aussi les chiens ?...Une idée comme ça…

Je vis dans un vestiaire d'idées qui sentent le renfermées…

J’ai idée que dans ma tête il se passe trop de temps à penser et que dans mon cœur il manque de temps pour aimer…

Haïku ou dans le genre...

Pop corn
Sur le rond d’poêle
Ce soir je m’éclate !

12 avr. 2011

Ciel des nuages ! Parce que je ne suis pas terre à terre






 Il y a des nuages que l'on ne voudrait souffler...





Il y a des nuages cachés derrière un muret...





 L'Île de Montréal à l'horizon...les arbres se font petits...
(oui je sais j'ai omis les nuages)







Il y a des nuages qui ressemblent à tout sauf à des nuages...

11 avr. 2011

Un week-end chez ma copine

Sur la route je compte les poteaux.

On approche de notre but !


Nous arrivons à destination...là où commence les terres vallonnées...Mauricie
Potage, fromages, pâté...et la joie d'être entre amis.

Léo c'est pas le plus beau mais le plus fin !
La planche de salut dans la piscine pour Léo et autres minous...
Voir par la fenêtre autre chose que des trottoirs, des routes...voir plus loin...

Vie de campagne
Bruant des neiges...oui je sais il se fond pas mal sur la neige, on ne le voit pas très bien. Je ne suis pas photographe professionnelle malheureusement.

Sizerin flammé 


Le pied de ma chum heureuse de laisser choir un peu sa botte de randonnée...

Vouloir y être pour toujours...


Le ciel peut attendre !!!

Deux frères...un slim et un gras...

 Le dégel

 Léo veut rentrer...il pointe le bout de son nez...


Promenade

Toujours plus loin...Voir...


 

Tu vois tes 25 ans comme si t’en avais 100. (chanson)



**À la recherche d'interprète :

Il y aura un extrait pour l'entendre en ligne d'ici peu.

Tu vois tes vingt-cinq ans
Comm' la fin des amants
Oh! Sainte Catherine!
T'erres dans ta cuisine
T'es pas Miss Univers
Mais t'as de beaux yeux verts
Précieux comm' l'émeraude
Toi dont l'amour taraude

{refrain}
Ton coeur solitaire
Ne sait plus comment s'taire
Tu vois tes vingt cinq ans
Comm' la fin d'un printemps
Ton coeur solitaire
Ne sait plus comment s'taire
Tu vois tes vingt cinq ans
Comme si t'en avais cent

Tu vois tes vingt cinq ans
Comme le grand châtiment
Arrête un peu d't'en faire
L'amour s't'un locataire
Tu sais qu'il peut s'enfuir
Et sans jamais nous l'dire
Tu vois tes vingt cinq ans
Comme la fin d'un printemps

{Au refrain}
(Pont musical)

Regarde devant toi
Il est peut-être là
Avance encore d'un pas
Tu ne le vois donc pas
L'amour est toujours là
Quelque part au fond de toi
J'te jure tu vas l'retrouver
Sans vraiment le chercher

{Au refrain}

Auteur :          Denise Girard, SOCAN
Compositeur : Daniel St-Jacques, SOCAN

Sur la route un crapaud. (chanson)


À la recherche d'interprète elle saura charmer son public je vous le dis ou argent remis !



Sur la route un crapaud
Z'auriez du voir ses yeux
J'appuyais sur le klaxon
Sans qu'il fasse un bond !!!

Sur la route un crapaud
Y'était même pas peureux
J'crois qu'il m'attendait
Avec son regard baveux
Qui me disait adieu
Oh  adieu

There's a toad on the road
You should' a seen it's eyes
As that old  toad
Waved good-bye
I'm losing control
To that toad on the road

Sur la route un crapaud
À quoi pouvait-il penser
À part se trucider
Se faire écraser
Sur la route un crapaud
J'voulais pas lui faire la peau
Il n'était pas heureux
Avec ses grands yeux vitreux
Qui me disaient adieu
Oh  adieu

There's a toad on the road
You should' a seen it's eyes
As that old  toad
Waved good-bye//  Kissed  me good-bye
I'm losing control
To that toad on the road//cheer up toad

J'perdais le contrôle
Fallait que j'le sauve
Comme dans un conte
J'me sentais drôle
J'l'ai pris dans mes mains
Pour l'éloigner d'la route
C'n'était pas malin
Mais j'avais des grands doutes
Si c'était une princesse
Une princesse en détresse
J'voulais l'embrasser...

Écoutez moi bien...

Y'a pas que les princes charmants
Qui se transforment en crapaud
Y'a ceux qui s'endorment au bout du quai
Les pieds dans l'eau
Y'a pas que les princes charmants
Qui se transforment en crapaud et qui
Rêvent à des contes de fées
Y'a aussi ceux qui rêvent trop
Qui rêve trop
Les pieds dans l'eau...

There's a toad on the road
You should' a seen it's eyes
As that old  toad waved goodbye
//  As that old  toad was kissing me goodbye
I am losin' control to that toad on the road
/// You should' a seen it's eyes whispering good-bye
Am I loosing control  or...is this only a dream ?


Auteur : Denise Girard © mars 2008 Laval, Qc. / SOCAN
Compositeur : Jack Lavoie, Cap Rouge, Québec, Qc. / SOCAN


10 avr. 2011

6 photos (rurales)

J'en pince pour toi !

Petite maison verte sur fond bleu. 

Fusées rurales...

 D'un balcon à l'autre...


 Cabane raquée...


  Descendre la fenêtre pour attraper le ciel...

7 avr. 2011

NE SACHANT PLUS (chanson)

N.B. *Il y a aussi une version masculine.
Recherche interprète






Ne sachant plus
Je lui disais « vous »
Je lui disais « tu »
Ne sachant plus
Je l’aimais c’est vrai
Mais je vous l’avoue
Je l’ai jamais su ...
Mais il le savait

Mes appâts étaient des leurres
Je survivais au présent
Je traversais l’océan
Une écume au fond du coeur

Depuis qu’il s’est fait la malle
J’éparpille tous mes refrains
Et tous mes mots en rafales
Au rythme de mon chagrin

Ne sachant plus
Je lui disais « vous »
Je lui disais « tu »
Ne sachant plus
Je l’aimais c’est vrai
Mais je vous l’avoue
Je l’ai jamais su ...
Lui le savait

Pour lui je bravais l’Atlantique
Le long de quelques sanglots
Je cherchais au fil de l’eau
Son amour et sa musique

Son phare m’éclaire en lumières
Qui m’invitent au bout du quai
Et mon bateau prend la mer
Je pars pour le retrouver

Je vous l’avoue
Je lui dirai « tu »
Je laisserai le « vous »
Je vous l’avoue
Il m’aime c’est vrai
J’ai trouvé l’issue
Et nos doigts qui se nouent ...

Je vous l’avoue
Je lui dirai « tu »
Je laisserai le « vous »
Je vous l’avoue
Il m’aime c’est vrai
J’ai trouvé l’issue
Et nos doigts se nouent
Vous le savez
musique Jean-Marie DJIBEDJIAN
courriel
JMDJIBEDJIAN@aol.com
 
paroles Denise GIRARD / Bernard PICHARDIE
courriel
pichardie@pichardie.com
 
blog de Denise
http://denisegirardsoupir.blogspot.com/

sites de Bernard
http://www.pichardie.com
http://www.e-monsite.com/pichardie

Chanson déposée à la SACEM / SOCAN
no 2243155811

Interprète : Isabelle Vanneste (Isafray)

2 avr. 2011

Il faut bien lui dire au revoir...

Mes dernières fleurs offertes à ma marraine chérie. Son âme vivra éternellement et je sais qu’elle m’attend pour très bientôt...



 Je pointerai le ciel pour que tu puisses me voir...
Je t'aime marraine

1 avr. 2011

Mes mères... RIP

Je ne sais plus où cacher ma peine...
Un départ n'est pas un au revoir. Le départ n'est pas une déchirure. Le départ est un silence caché dans la douleur...
 
Je suis si seule sur cette photo...mais où êtes-vous mes mères ?