Ta peau est comme un livre qui attend qu’on lui raconte son histoire…
Un jour à la fois parce que les lendemains sont déjà suffisant…
Pourquoi existe-t-il tant de mots pour nous séparer ?
Tu es le cercle vicieux de mes désirs...
Tu es le trouble de mon corps...
Tu es la communion de mon péché...
Arrêtez de vivre pour mourir un peu...
Ne plus compter sur le lever du soleil. Attendre le retour des lunes...
Je combats la force des larmes.
Pourquoi existe-t-il tant de mots pour nous séparer ?
Tu es le trouble de mon corps...
Tu es la communion de mon péché...
Arrêtez de vivre pour mourir un peu...
Ne plus compter sur le lever du soleil. Attendre le retour des lunes...
Je combats la force des larmes.
Ta peau fleure le printemps.
Je te vois dans ma soupe. Mon Dieu comme elle est brûlante…
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