Lorsque j'y pense je vous écris un mot....

Aujourd'hui le ciel est bleu comme une banquise...il fait si froid.

21 oct. 2009

Demain il sera plus facile de mourir réellement que virtuellement...

Lorsque les étoiles tomberont une à une dans la mer et que les déserts chevaucheront les océans.......nous aurons soif....

Nous sommes tous les racines d’un sol qu’on assassine...
Ou :
Nous sommes tous des racines qui se meurent en terre qu'on assassine...

Lorsque la vie me donne peu je tente de lui arracher plus...

Si le stress te tue laisse le calme t’emporter...

De mes ailes je touche le ciel et mon cul embrasse la terre...

Il existe des lieux où la pluie est bénite et d’autres lieux où elle est maudite...

Lorsque le bonheur nous frôle il faut se frotter tout contre lui...

Vivre sans amour c’est comme être une fleur privée de l’eau...

La vie c’est comme la mort. Ça ne veut rien dire tant que l’on ne le vit pas...

Je suis le fruit de vos entailles et souffrez!

Ma vie est comme le vent sans voile...

Je rêve...Je rêve...Je rêve...Pour ne pas mourir en dormant...

Si les poètes sont fous je dois être le tout...

Dans le silence de la vague où son creux se mari aux profondeurs des abîmes nébuleuses les étoiles de mer s’alignent en prière...

Le vent siffle et la vague dérive...

Je survivrai au présent et au futur...mais le passé me tue!   

La mort n’est que le début d’une fin...

Géographiquement je ne me situe nulle part!

Si je n’ai plus l’âge de la séduction ni celle de la raison...quel âge aies-je donc?

La lune tourne au rouge dans les bras du soleil.

L’on peut étouffer les mots mais jamais leurs significations...

L’amour est un mal que l’on doit prendre en considération...

J’ai l’esprit ouvert mais les cuisses bien fermées... (Faut pas me prendre au mot!)

Qu’adviendra-t-il de la tour de Babel avec tous les logiciels de traduction?

Je suis usé jusqu’à la corde. J’ai emprunté celle du voisin pour me pendre...

Denise Girard, Tous droits réservés.

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